REFLEXION SUR LES LANGUES DU MONDE EN GÉNÉRAL
GUISS-GUISS : Mon point de vue
REFLEXION SUR LES LANGUES DU MONDE EN
GÉNÉRAL
Je ne prétends en aucun cas, dans cet article
sur les langues qui suit, de prendre la place d’aucun spécialiste en la
matière. Je réfléchis comme studieux, membre de la société et simple citoyen
que j’aime être. Je peux écrire sur mon expérience propre et caractéristique de
mon milieu, pareil à tant d’autres mais, comme composant de notre continent et
du monde que suis, je prends l’Être tout court comme point focal, pour avancer
dans mon point vue sur les langues de
notre univers en général.
Il me vient dans la tête, l’exemple de
l’enfant Lambda, qui est né dans un point X de la Terre, de ce XXI siècle actuel.
Au moment qu’il commence à communiquer par le parler avec son entourage, la langue commune
utilisée est déjà, une base sûre, disons, une première équation résolue et en
plus, primordiale pour une meilleure compréhension de sa sphère de naissance.
Du parler borborygme à celui du franc parler, jusqu’à la découverte progressive
des différences entre les langues qui l’entourent, l’enfant note dans le temps
et l’espace, qui peut être un pays, l’existence réelle d’autres formes de langage
et même, d’écriture. Il est clair qu’à un certain âge, on peut noter si sa
langue maternelle est si ou non, la langue prédominante entre toutes. A partir
de ces moments, on est face à un fait réel qui démontre sans doute, que l’esprit est simplement capable de s’approprier de l’autre, en
utilisant son processeur personnel, par nécessité première de communiquer vue
la réalité du contact avec les sociétés. Deux évidences basiques sortent de ces
constats: la conscience de qu’à coté de toute langue, il existe tant d’autres
tout au tour. Le deuxième constat est qu’il existe toujours une langue
prédominante entre toutes. À partir de ces deux constats, et vu l’ordre des
choses en général dans l’état et la politique linguistique appliquée, l’Être
peut se rencontrer avec l’ordre passive et recherché par d’autre, d’un
atrophiement de son pouvoir d’apprentissage naturel ou, d’ouverture selon le
type de politique en vigueur. Logiquement, une langue clairement prédominante
dans un ensemble, devrait être un facteur naturel d’entendement et non, de
bataille fratricide et maint fois hypocrite et nocive envers soi, d’un domaine linguistique exclusif dominant les autres, d’autant
plus que la langue mère de n’importe quel élément, ne s’oubli jamais en général,
sauf s’il existe un front explicitement offensif pour arriver à la démanteler
dans le temps: Pourquoi devrait-on désapprendre en se serrant dans un socle qui
empêche à la conscience de se développer,
se comprendre et comprendre dans
un fond plus que médiane, les autres marcheurs sur les chemins? Il existe
beaucoup d’exemple de pays dont je ne citerais pas, qui ont su comprendre
combien est d’une importance capitale, une langue de cohabitation, de pacification
et de relation dans une société diverse par nature. La crue réalité est qu’il
n’existe pas sur terre, un pays qui ne s’intéresse tant soi peu, en cachette ou
bien ouvertement, sur les autres formes de langages avec lesquelles il se
frotte journalièrement. Les langues des grands ensembles linguistiques, géopolitiquement
parlant du monde, n’ont pas de solution à la question qui suit, par décision
politique de négation, de recherche évidente d’une fausse supériorité
linguistique et, une certaine aliénation de l’autre, pour le rayonnement de soi:
Pourquoi se chamailler, quant on est conscient, qu’une langue prédominante qui
envahit le jour au jour, est un apport positif pour celui qui l’apprend et, en
aucun cas, devrait être motif d’incompréhension de la mode de l’actualité
présente? C’est presque pareil à la langue maternelle de son monde, qui
embarrasse l’ouverture pour son propre mieux être, en dépendant des autres et
vis-versa. On peut donner l’exemple de très grandes entités linguistiques qui
surent attendre le temps nécessaire, jusqu'à ce que naturellement et par besoin,
d’autre langues fortement prédominantes, notent progressivement l’envie
cardinale de s’approcher réellement, d’apprendre d’elles et puis comprendre
beaucoup mieux, les autres. Ces entités linguistiques qui sont facilement
reconnaissable, la plus part d’entre elles, anciennes colonisées dans tous les
domaines de la vie, sont appréhendées
aujourd’hui, par la dure magie du passé, et apprécient l’importance de la
conservation comme langues de communication et de travail, l’ancienne langue
géo-stratégiquement prédominante qui ne
crut pas à temps, en l’importance de l’apprentissage d’aucune autre langue qui
ne soit la sienne, jusqu'à ce que sa propre survivance en dépend. Il est drastiquement faut de faire croire à
son peuple que voilà;
- notre langue est la plus importante et
plus parlée dans le monde, nous dominons les autres-. Non, c’est un mirage pour
la conscience et une insulte à l’intelligence humaine. Ce qu’il faudrait
essayer de concorder est, la cardinalité
de l’importance d’une langue prédominante pour la personne, dans tout entourage
allant du plus petit au plus grand et que se note le retour d’ascenseur
marquant un corollaire manifeste d’estime envers la moins parlée.
Pour terminer cette réflexion brossée sur
la problématique des langues et leurs interrelations, je reviens à l’introduction
de départ de cet article c'est-à-dire, partant de l’Être même, son caractère et
capacités concrets de pouvoir détenir, dans le temps et avec le temps, la
possibilité de parler et d’écrire dans plusieurs langues, de connaitre et se
défendre dans tant d’autres pour un meilleur développement personnel et
collectif.
Abdoulaye Bilal Traoré
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